La Cour a estimé qu’un Ivoirien militant de la FESCI ne pouvait, dans le contexte prévalant à la date de sa décision, justifier de craintes fondées de persécution...

Jurisprudence
Passer la navigation de l'article pour arriver après Passer la navigation de l'article pour arriver avant
Passer le partage de l'article pour arriver après
Passer le partage de l'article pour arriver avant

L’intéressé, membre de la FESCI depuis 2003 et ayant vécu et étudié en Inde de 2007 jusqu’à son exil en 2014, n’a pas établi la visibilité de son militantisme personnel dans le contexte de la réconciliation nationale post électorale initié en 2011 (CNDA 18 mars 2016 M. D. n° 15020159 C).