L’épouse d’un syrien insoumis justifiant d’un motif de conscience lié à ses opinions politiques hostiles au régime craint avec raison d’être personnellement persécutée en raison d’opinions politiques imputées du fait de l’insoumission de son époux.
Statuant sur le recours d’un couple syrien, la cour a, d’une part, reconnu la qualité de réfugié à l’époux, dont le refus de servir l’armée syrien ...