S’agissant d’un pirate somalien condamné en France à une peine de six ans de réclusion pour détention et séquestration en bande organisée, la CNDA juge que les craintes de persécution ou d’atteinte grave, en cas de retour en Somalie, ne sont pas fondées.
La Cour juge, d’une part, qu’aucun élément ne permet de déterminer que les anciens complices de l’intéressé le soupçonneraient de coopération avec ...